Rouen

• Compte rendu de l’action du Collectif des déboulonneurs de Rouen, le 25 mars 2006
  25 mars 2006, par stéphane

  25 activistes, dont trois jeunes enfants dans des poussettes ; un panneau déroulant JC Decaux barbouillé avec "Légitime réponse" ; un barbouilleur conduit à l’Hôtel de police, où il n’est resté que 1h30 ; 1 journaliste indépendant, 2 photographes.
  Pourquoi que 25 activistes non-violents ? Temps maussade, fatigue après la mobilisation contre le CPE....?
  Pendant que le barbouilleur inscrit son graffiti, une trompette (une vraie ! ) retentit, donnant un air de fête sans nulle autre pareille, avec des (...)

• samedi 28 janvier - 3° barbouillage du Collectif des déboulonneurs rouennais
  28 janvier 2006, par stéphane

  Barbouillage réussi. Le barbouilleur a été embarqué au commissariat où il est resté 3 heures. Une bonne et savoureuse déposition a été faite.
  11h - dix-sept activistes non-violents antipub sortent de nulle part et s’approchent d’un dispositif déroulant et lumineux de 3x4, imposé au paysage par JC Decaux. Il fait très froid ce matin-là à ce carrefour où circule à petite allure un flot de voitures, et où les automobilistes sont agressés par la pub de ce panneau situé à la jonction des communes de Rouen et de (...)

• Deuxième déboulonnage de pub à Rouen, le 23 décembre 2005
  23 décembre 2005, par stéphane

  Préparatifs : une soirée dans les rues de Rouen pour repérer les trois obstacles urbains (sucette JC Decaux) qui vont être, le 23 décembre, l’objet d’un assaut antipub dans le cadre de l’action conduite par le Collectif des déboulonneurs ; trois calicots, avec comme inscriptions en couleurs : ” Cet obstacle urbain est à retirer. PUB = TRAHISON, le bonheur n’est pas dans la consommation. Pub = pollution visuelle, matraquage, violence".
  Récit de l’action :
  15h30 : cinquante personnes se retrouvent rue (...)

• Le collectif de Rouen a effectué sa première action le dimanche 27 novembre 2005
  27 novembre 2005, par stéphane

  Le rendez-vous était donné à la gare, devant l’antenne des taxis. Ce dimance à 16h, 25 personnes se retrouvent ; elles forment un cercle pour se donner des instructions : non-violence, respect, politesse quoiqu’il arrive.
  Le but du barbouilleur désigné est de se faire arrêter pour créer le débat sur la publicité. Le groupe se déplace vers la place Cauchoise, affligée d’un Mobilier Urbain Pour l’Information (MUPI) de 8 m2. L’échelle est installée et le barbouilleur se hisse pour peindre “PUB = violence". (...)

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